Deuxième jour

Ce matin, nous décidons de partir faire une balade à dos de dromadaire.

Zale nous a conseillé de ne faire que 15’ car plus, on a rapidement le mal de mer ! Sans compter le mal au c.. !

Nanihi sourire aux lèvres

La famille au complet...

Après la quinzaine de minutes, pose photo

Finalement nous pouvons certifier que nous étions sûrement fait pour cette activité...

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Après cette balade dans les dunes, au galop et au trot, petite instant repas.

L’après-midi, Mia suit « Louis de Funès » - surnommé ainsi car il fait rire tout le monde – pour un choix d’objets artisanaux.
« Louis de Funès » ramène alors les divers objets à l’hôtel histoire que je puisse donner alors mon avis. Les enfants dormaient...
Notre façon de marchander commence à prendre forme, mais n’est pas encore à son apogée !

Ibrahim, le musicien, avec qui nous avons sympathisé nous présente son xalam. Il fait lui-même ses instruments.
Cet instrument, la guitare wolof, a quatre cordes. Les nylons sont tendus à l'aide d'anneaux coulissants en cuir, entre un manche en bois et une caisse de résonance en calebasse, elle-même recouverte d'une peau de chèvre.
La pratique du xalam est habituellement réservée aux musiciens professionnels dits « griots » qui s'en servent pour l'accompagnement de chants relatant, entre autre, le courage et les exploits d'anciens héros de guerre devenus célèbres.
Nous décidons de lui en acheter. Il veut nous l’offrir. Nous refusons compte tenu du travail fait.
Qu’a cela ne tienne, il nous offre alors un tissu fait de ses mains, un tissu griot. Nous sommes ému malgré le fait que nous ne connaissons pas la valeur de ce tissu.
Nous apprendrons plus tard, que ce type de tissu ne peut être porté par n’importe qui.

Petit thé à la menthe préparé par Doudou Kâ. Je n'ai jamais autant bu de thé que pendant cette période.

La journée se termine avec la promesse faite à Nanihi, qu’une petite baignade dans la piscine serait faite !